Version : 2.26.fr.1.1
22 février 2007
Historique des versions | ||
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Version 2.26.fr.1.1 | 2007-02-22 | JPG |
Intégration de quelques corrections suggérées par Gérard Delafond. | ||
Version 2.26.fr.1.0 | 2007-02-15 | AB, JB, JPG |
Première adaptation française. | ||
Version 2.26 | 2006-07-28 | MS |
Version initiale. Original release. |
Résumé
Ce petit guide décrit l'installation de Linux et de Windows NT sur un même ordinateur et le démarrage de l'un ou l'autre de ces systèmes d'exploitation à l'aide du menu de LILO. Il existe par ailleurs un autre petit guide, le Petit guide Chargeur NT + Linux, qui décrit l'amorçage de l'un ou l'autre de ces systèmes à l'aide du menu de démarrage de NT. Puisque je considère, en réalité, Windows 2000 comme la version 5.0 de Windows NT, ce petit guide décrit également la mise à niveau de Windows NT 4.0 vers Windows 2000.
Table des matières
Vous trouverez des informations plus détaillées sur LILO (Linux Loader) dans le superbe Petit guide LILO.
Vous trouverez la plus récente version française de ce document à l'adresse : http://www.traduc.org/docs/howto/lecture/Linux+WinNT.html
La plus récente version originale de ce document est disponible à l'adresse : http://www.tldp.org/HOWTO/Linux+WinNT.html
Ajoutez un couplet NT au fichier
/etc/lilo.conf
, par exemple :
other=/dev/sda1 label=NT table=/dev/sda
Lancez lilo. Si lilo signale une erreur (j'ai oublié le message exact), ajoutez l'option « linear » au fichier /etc/lilo.conf, près du mot-clé « compact ». De plus, si NT a endommagé votre table de partitions, vous devrez ajouter « ignore-table » ou suivre les instructions de l'alinéa 7. Voyez aussi « fix-table ». N'hésitez pas à consulter le guide pratique LILO.
Redémarrez l'ordinateur, sélectionnez NT à partir du menu LILO et terminez l'installation de NT. Vous devrez utiliser la disquette « disquette d'amorçage XU, HP VECTRA AIC 7800 Pilote A.01.02 » pour installer les pilotes Ethernet et les drivers XU/VT. Vous devrez également utiliser le CD « documentation » (répertoire video/disk4, si ma mémoire est bonne) pour installer les pilotes vidéo de la carte Matrox MGA Millenium.
/dev/sda1 1 1 322 329301 6 DOS 16-bit >=32M
La partition 1 ne se termine pas sur une frontière de cylindre :
phys=(321, 39, 9) devrait être (321, 63, 32)
Cfdisk rend compte de bizarreries mais tout semble correct
Unusable 0.04* /dev/sda1 Primary DOS 16-bit >=32Mb 321.59* Unusable 0.39*
dd if=/dev/zero of=/dev/sda bs=512 count=1 dd if=/dev/fd0 of=/dev/sda bs=510 count=1
Terminez l'installation de Linux. Facile, non ?
Mon entrée NT supplémentaire est :
other=/dev/sda1 label=nt
Le fichier /etc/lilo.conf
entier
ressemble à :
boot=/dev/sda map=/boot/map install=/boot/boot.b prompt timeout=50 default=linux image=/boot/vmlinuz-2.2.12-20smp label=linux-mp initrd=/boot/initrd-2.2.12-20smp.img read-only root=/dev/sda6 image=/boot/vmlinuz-2.2.12-20 label=linux-up initrd=/boot/initrd-2.2.12-20.img read-only root=/dev/sda6 other=/dev/hda1 label=nt
Voilà donc toute l'histoire. Si tout se passe bien, au prochain démarrage de votre ordinateur, vous devriez vous retrouver sous Linux. Ne soyez pas surpris de ne plus voir votre cher chargeur Windows. Il vous faut simplement consulter un autre super document Linux, appelé Petit guide de LILO Vous y trouverez des informations plus précises concernant le fonctionnement de LILO (Linux Loader).
Si vous trouvez cela plus facile, lisez, ci-dessus, les pages correspondantes, au chapitre « Mise à niveau de Windows NT vers Windows 2000 ».
Voilà toute l'histoire. Si tout se passe bien, au prochain démarrage de votre ordinateur, vous devriez vous retrouver sous Linux. Ne soyez pas surpris de ne plus voir votre cher chargeur Windows. Il vous faut simplement consulter un autre super document Linux, appelé Petit guide de LILO. Vous y trouverez des informations plus précises concernant le fonctionnement de LILO (Linux Loader).
Si vous trouvez cela plus facile, lisez, ci-dessus, les pages correspondantes, au chapitre « Mise à niveau de Windows NT vers Windows 2000 »
Il est certain que la vie serait vraiment plus facile sans les problèmes qui résultent d'une simple « tolérance » entre les mondes Windows et Linux. Il est possible que j'ai fait une autre erreur quelque part dans le cyberespace, mais dès que j'ai fini l'installation de Linux — plus précisément de RedHat 7.1 (on est aujourd'hui le 4 mai 2002 et je n'ai toujours pas de distribution meilleure ni plus récente. Un don des lecteurs, peut être … ?), je me suis rendu compte que F10, au démarrage de l'ordinateur, ne permettait plus de lancer les diagnostiques de HP. En réalité, qu'on presse F10 ou non, l'Omnibook 6000 affiche directement l'écran graphique de LILO. Avant l'installation de Linux, les diagnostics fonctionnaient sans aucun problème.
Pour information, lors du démarrage suivant de Windows 2000, le gestionnaire de disques a reconnu les partitions suivantes sur le disque :
Taille | Format | Libellé | Type | |
1 | 15 Mo | FAT | - | principale |
2 | 7,30 Go | FAT32 | HPNOTEBOOK C: | principale |
3 | 52 Mo | - | - | principale |
4 | 18,37 Go | - | - | Logique |
5 | 258 Mo | - | - | Logique |
6 | 1,96 Go | Espace libre | - | - |
De son côté, Partition Magic voit le découpage suivant :
Taille in MB | Format | Libellé | Type | |
1 | 14,7 | FAT | sauvegarde | principale |
2 | 7.471,4 | FAT32 | HPNOTEBOOK | principale |
3 | 51.7 | ext2 | /boot | principale |
4 | 21.077,9 | étendue | - | principale |
5 | 18.811,4 | ext2 | / | Logique |
6 | 258,4 | swap | - | Logique |
7 | 2.008,1 | espace libre | - | Logique |
Quelques explication à propos des tableaux ci-dessus : il est évident que la partition diagnostics, créée lors de la « restauration » de Windows 2000, est plutôt petite — environ 15 Mo (en comparaison de la partition créée lors de la restauration de Windows NT qui peut aller jusqu'à 500 Mo). Malgré cela, il s'agit d'une partition principale. Cela signifie que vous devez être conscient du nombre de partitions principales que comporte votre système. Je n'en suis pas certain actuellement, mais c'est peut être une des raisons pour lesquelles les outils de diagnostics ne sont plus disponibles lorsque toutes les opérations d'installation sont terminées.
Ensuite, vous pouvez voir que j'ai réduit la partition FAT32 de Windows 2000 (environ 7,5 Go) afin d'obtenir suffisamment d'espace libre pour Linux.
Je conseille de laisser le programme d'installation de Linux transformer l'espace libre en partitions. Ce que je veux dire, c'est qu'il n'est pas nécessaire de préparer manuellement les partitions Linux. Comme vous pouvez le voir, à partir des tableaux, la partition boot occupe environ 50 Mo, la partition swap occupe environ deux fois la taille de la mémoire vive (2 x 128 = 256 Mo) et le reste est occupé par les autres partitions Linux. L'espace libre restant est probablement le résultat de la conversion des différents formats des systèmes de fichiers.
Voici le résultat : Linux fonctionne, Windows fonctionne également. Il n'y a plus de diagnostics. L'hibernation (sous Windows) n'a pas encore été testée. À première vue, la carte duale 3Com réseau et modem n'est pas entièrement compatible Linux. En réalité, le réseau semble fonctionner, mais le modem est un « winmodem ». Personne ne sait si HP va faire quelque chose pour résoudre ce problème. Tout ce que je peux dire est qu'il faut éviter l'Omnibook 6000 si le modem est une fonction essentielle. Bien entendu vous pourriez dépenser quelques euros et acheter une autre mini-carte PCI comportant une puce modem supportée. En plus, l'écran 15" de HP offre un magnifique affichage avec une résolution allant jusqu'à 1400 x 1050 et des couleurs sur 16 bits. Il est intéressant de remarquer que cette résolution semble être sélectionnée par défaut par Windows 2000 et qu'elle est également facile à configurer sous Linux (RedHat 7.1). Il y a aussi un pavé tactile plutôt « hyper sensible » qui simule souvent un clic gauche de la souris. Il semble que cela soit une caractéristique commune aux installations de Windows et de Linux. Cela m'ennuie parfois, mais cela vous conviendra peut être.
Je prévois ensuite de convertir la partition FAT32 en NTFS afin d'obtenir un sous système Windows plus fiable. D'un autre coté, la partition principale de Linux (root) devrait être réduite afin de libérer de l'espace. Cet espace libre sera utilisé plus tard pour l'échange de fichiers entre les deux systèmes d'exploitation (ce sera probablement une partition FAT).
Comme expliqué ci-dessus, le portable comporte un lecteur de DVD amorçable, donc tout est dit.
Amorçage système des ordinateurs de bureau
Erreur : Fichier introuvable… (ou quelque chose d'équivalent)
> À partir de cet instant, la procédure d'installation a été pratiquement identique…
J'ai choisi ou confirmé les éléments suivants :
Sélection des groupes de paquetages
Soit, au total, 1010/5267 (pour le portable) et 1066/5265 (pour le serveur).
J'ai ensuite obtenu des informations concernant le choix des serveurs (?) suivants sur le portable :
cups, openssh-server, postfix, proftpd, rwho, webmin, ypserv, bind and nfs-utils.
… et cela devrait être identique pour d'autres (nouveaux) utilisateurs.
avec « Utiliser la détection automatique ».
Aussi, sur le serveur, j'ai choisi de configurer « connexion au réseau local ».
Les pilotes sont : 3c59x (portable), eepro100 (serveur).
Lilo graphique sur /dev/hda (portable)
Lilo graphique sur /dev/sda (serveur)
Félicitations, l'installation est terminée.
Le gestionnaire de disque de Windows a affiché les nouvelles partitions Linux :
- portable : 5,85 Go Fonctionnel \ Disque 0 495 Mo Fonctionnel - ces trois-ci sont des disques 14,46 Go Fonctionnel / logiques de la partition étendue - serveur : 5,85 Go Fonctionnel - partition principale Disque 1 494 Mo Fonctionnel \ 17,12 Go 10,79 Go Fonctionnel - ces deux-ci sont des disques logiques de la partition étendue
Le premier écran après démarrage sous Linux Mandrake :
Assistant initial : KDE par défaut (les deux)
Résultats de l'action Ctrl-Alt-Suppr :
Si vous souhaitez obtenir des informations supplémentaires sur LILO (Linux Loader), qui a été configuré comme programme de démarrage des ordinateurs décrits ci-dessus, reportez-vous au Petit guide de LILO.
HP Vectra VL420 (client station de travail — bureau)
Comme indiqué ci-dessus, le HP Vectra VL420 ne possède pas de lecteur de DVD (seulement un lecteur de CD), ainsi, l'installation à partir du DVD n'était pas possible. Cependant il était possible de créer une disquette d'amorçage. En réalité il existe plusieurs images d'amorçage destinées aux utilisateurs qui ne possèdent pas de lecteurs de DVD (amorçable ou non). Une de ces images était une « image réseau ». Cela signifie que, sur le réseau local, il doit exister un serveur NFS, FTP ou HTTP à partir duquel l'installation peut s'effectuer. Comme expliqué ci-dessus, un serveur Windows 2000 (celui que j'ai utilisé précédemment pour l'installation du serveur Mandrake Linux) comporte des serveurs HTTP et FTP installés. Ainsi, j'ai pu utiliser l'un d'entre eux.
J'ai ainsi utilisé la disquette d'amorçage « réseau » pour démarrer le Vectra VL420. Après quelques instants, le choix de la méthode d'installation a été proposé (serveur NFS, FTP ou HTTP). Pour commencer, j'ai essayé d'utiliser le serveur HTTP mais, quelque soit la permission que j'ai donnée au groupe d'utilisateurs Windows « tous », le programme d'installation de Linux a toujours affiché le message : Erreur : fichier introuvable…
J'ai ensuite essayé d'utiliser le serveur FTP (à partir du même serveur Windows) qui a également demandé les adresses IP, locale et distante. Il a ensuite commencé à charger une partie des fichiers distants en mémoire. Peu après, il est arrivé au même point que l'Omnibook 6000 : le menu d'installation s'est affiché, demandant de choisir la langue.
> À partir de cet instant, la procédure d'installation a été pratiquement identique…
J'ai choisi ou confirmé les éléments suivants :
langue — en plus de l'anglais (américain) j'ai choisi Unicode et Serbe, à la fois en cyrillique et en latin ;
une souris et un clavier ;
niveau de sécurité — « normal » par défaut.
Le choix important, par la suite, a été le type de partitionnement de DrakX :
Au début j'ai choisi « Utiliser l'espace libre de la partition Windows » car il possède un seul disque IDE et je souhaitais qu'il en utilise une partie pour Linux (conjointement avec Windows 2000 Pro déjà installé).
Dès le départ, le programme d'installation de Linux s'est plaint du fait que la partition Windows était trop fragmentée et a demandé de redémarrer sous Windows, de lancer l'utilitaire de défragmentation puis de relancer l'installation de Mandrake Linux. À la fin de la défragmentation, j'ai essayé, à nouveau, « utiliser l'espace libre de la partition Windows », mais il voulait simplement réduire la partition Windows d'environ 30 Go à environ 28 Go. J'ai alors utilisé le programme Partition Magic pour la réduire à environ 20 Go afin de libérer plus d'espace pour Linux.
J'ai ensuite essayé « partitionnement de disque personnalisé », j'ai choisi le premier disque IDE (hda) de 27 Go et sélectionné « Redimensionner ». Cette option n'était pas la bonne car elle permettait seulement d'augmenter la taille de la partition Windows au lieu de la réduire. J'ai finalement choisi « Utiliser l'espace libre » et il a créé automatiquement les partitions Linux. En réalité, ce Vectra possède deux disques IDE, l'un comportant Windows 2000 serveur et l'autre Windows 2000 Pro, c'est ce dernier que je voulais utiliser en partie pour installer Linux. Après sélection de l'option « Terminer », le programme a créé les partitions /dev/hda5 et /dev/hda7.
Sélection des groupes de paquetages
Par défaut, le programme d'installation de Mandrake propose les paquetages suivants :
Station de travail Office
Station de travail Internet
Station de travail KDE
Station de travail Gnome
Soit, au total, 1009/5105 (pour le client).
Pour le client j'ai ajouté tout le reste sauf 6 éléments « serveur » (1638/5105).
J'ai ensuite obtenu des informations concernant le choix des serveurs suivants sur le client :
cups, postfix, rwho, webmin
J'ai accepté ces choix.
L'installation a démarré…
Une fois cette étape terminée et après avoir saisi un mot de passe pour root, le programme d'installation a demandé de « saisir un nom d'utilisateur » (un utilisateur ordinaire). La différence entre l'installation du client et celle du serveur est que, pour ce dernier, des fonctions supplémentaires étaient proposées pour l'utilisateur :
Accès aux outils de compilation (ctools).
Accès aux outils rpm (rpm).
Accès aux programmes X (xgrp).
Accès aux outils réseau (ntools).
Accès aux fichiers d'administration (adm).
Autorisation de « su » (wheel).
… et cela devrait être identique pour les autres (nouveaux) utilisateurs.
Ensuite le client a suggéré de « configurer l'ordinateur pour qu'un utilisateur soit automatiquement connecté ». Je n'ai pas accepté cette solution car je voulais que chaque utilisateur saisisse un mot de passe pour se connecter au système.
Peu après, un écran « résumé » a été affiché permettant de régler finement l'installation. J'ai modifié les éléments suivants :
Belgrade
il proposait 1280 x 1024 à cause d'un moniteur et d'une carte NVIDIA GeForce2 DDR (générique), 24 bits et 16 millions de couleurs.
Intel Corporation|ICH2 810 Chipset AC'97 AudioController.
avec « Utiliser la détection automatique ».
Résultats : il n'a rien reconnu. Aussi, j'ai choisi de configurer « connexion au réseau local ».
Le pilote est: eepro100.
Les adresses IP.
Nom de l'hôte : client, passerelle :
désactivé (défaut).
Lilo graphique sur /dev/hda
Lilo graphique sur /dev/sda (serveur)
Démarrage par défaut : Windows sur /dev/hda1
32 activés sur 47 enregistrés (comme pour le portable)
Peu après…
Félicitations, l'installation est terminée.
(redémarrage)
Résultats de l'installation (ensemble des trois systèmes)
windows, linux, connexion de secours, disquette ;
windows, linux, linux-nonfb, connexion de secours, windows2, disquette ;
windows, linux, linux-nonfb, linux-securisé, connexion de secours.
Remarques :
L'option windows2 pour le client correspond en réalité à Windows 2000 Serveur qui est installé sur le deuxième disque dur.
Je ne sais pas exactement pourquoi l'option de démarrage en mode texte « linux-nonfb » n'est pas disponible pour le portable, alors que Linux semble démarrer précisément dans ce mode (c'est peut être dû aux caractéristiques de l'écran LCD du portable ou à quelque chose de similaire). D'un autre coté, les différences entre le client et le serveur concernent la disquette et le démarrage de Linux en mode sécurisé (peut être pour des raisons de sécurité).
L'option « Linux-sécurisé » pour le serveur est peut être le résultat du choix d'un niveau « élevé » de sécurité effectué au début de l'installation, ou peut-être existe-t-il des fonctionnalités de sécurité spécifiques aux serveurs.
Lors du redémarrage suivant, sous Windows, est apparu un écran : « Modification des paramètres du système » : Windows 2000 a installé de nouveaux périphériques. Vous devez redémarrer votre ordinateur pour que les nouveaux paramètres soient pris en compte. Voulez vous redémarrer votre ordinateur maintenant ? J'ai accepté.
Le gestionnaire de disque de Windows a affiché les nouvelles partitions Linux (comparaison des trois installations) :
- portable : 5,85 Go Fonctionnel \ Disk 0 495 Mo Fonctionnel - Les trois sont des disques logiques 27,95 Go 14,46 Go Fonctionnel / de la partition étendue - client : 5,68 Go Fonctionnel \ Disk 0 494 Mo Fonctionnel - Les trois sont des disques logiques 37,28 Go 3,52Go Fonctionnel / de la partition étendue (comme pour le portable) - serveur : 5,85 Go Fonctionnel - partition principale Disk 1 494 Mo Fonctionnel \ 17,12 Go 10,79 Go Fonctionnel - ces deux sont des disques logiques de la partition étendue
Il semble que les partitions /boot
et
/swap
aient des tailles très similaires,
indépendantes de la taille du disque, mais que les partitions
/
(root, home, etc.) dépendent de la taille du
disque. Il faut noter que pour le client j'utilise le même disque
dur de 37,28 Go pour Windows et pour Linux (pour Windows
27,60 Go en NTFS sur un total de 37,28 Go, le reste,
soit environ 10 Go, étant réservé à linux).
Le serveur possède deux disques durs, chacun de 17,12 Go, le disque 0 (le premier) est entièrement utilisé pour Windows 2000 serveur et le disque 1 (le deuxième) entièrement pour Linux. C'est pour cette raison que le programme d'installation de Mandrake alloue moins d'espace à / sur un disque de plus grande capacité (en réalité, pour le serveur il a alloué relativement plus d'espace pour / bien que le disque soit plus petit, car ce disque est entièrement dédié à Linux).
Écran affiché lors du premier démarrage de Mandrake Linux :
Portable : un écran comportant seulement le nom d'un utilisateur (root n'est pas disponible !) ainsi que les boutons Redémarrer et Arrêter.
Client : un écran comportant seulement le nom d'un utilisateur (root n'est pas disponible !) ainsi que les boutons Redémarrer et Arrêter.
Serveur : un écran comportant « Saisir le nom d'utilisateur », « Saisir le mot de passe » et « Type de session » (aucun nom d'utilisateur n'est affiché mais il est possible de se connecter également en tant que root !)
Assistant initial : KDE par défaut (client, comme pour les autres)
Les écrans KDE du client et du serveur sont différents : le client VL420 montre le CD-ROM monté sur /mnt/cdrom et la disquette montée sur /mnt/floppy alors que le serveur (qui possède pourtant le même type de périphériques !) ne les montre pas. De plus, si un disque flash est connecté à un port USB avant que Linux ne démarre, une icône le représentant sera affichée. Il est intéressant de noter que cela ne se produit pas pour le serveur. Je pense qu'il s'agit encore une fois des différences entre les programmes d'installation de Mandrake Linux de type client et serveur, ou peut être s'agit-il de mesures de sécurité spécifiques aux installations de type serveur. Quoi qu'il en soit, c'est, à mon avis, un manque de confort pour les utilisateurs des serveurs Mandrake Linux. Au cas où vous, cher lecteur, connaîtriez des moyens de contournement, votre contribution serait la bienvenue !
De plus, pour le client, à partir du panneau KDE il est possible de lancer le « Centre de contrôle Mandrake — outil de configuration du système » (qui n'est cependant utilisable qu'avec les privilèges de root), alors que pour le serveur cette possibilité n'existe pas. (en réalité un utilisateur « ordinaire » peut lancer ce même outil en passant par le menu Démarrer les applications et l'utiliser après avoir saisi le mot de passe de root). Je me demande pourquoi cela a été fait ainsi chez Mandrake. Peut être voulaient-ils éviter que des utilisateurs « ordinaires » n'aient accès aussi facilement à des outils de configurations…
…
À propos de Ctrl-Alt-Suppr :
Portable : un écran « terminer la session de
nom d'utilisateur
» Quelle action
voulez vous réaliser ? Connexion sous un autre nom
d'utilisateur, Arrêter l'ordinateur, Redémarrer l'ordinateur,
ainsi que les boutons Confirmer et Annuler.
Client : un écran « terminer la session de
nom d'utilisateur
» Quelle action
voulez vous réaliser ? Connexion sous un autre nom
d'utilisateur, Arrêter l'ordinateur, Redémarrer l'ordinateur,
ainsi que les boutons Confirmer et Annuler.
Serveur : un écran « terminer la session de
nom d'utilisateur
» ainsi que les
boutons « Déconnexion » et « Annuler ».
Après connexion sous un nom d'utilisateur différent, est apparu le même écran que celui décrit à la section « premier démarrage sous Mandrake ».
Si vous souhaitez obtenir des informations complémentaires à propos de LILO (Linux Loader), qui a été configuré pour être utilisé au démarrage des ordinateurs décrits ci-dessus, reportez vous au Petit guide de LILO.
Il existe également une différence de comportement entre le serveur et le client en ce qui concerne l'arrêt du système. Un utilisateur du client est capable d'arrêter le système, y compris à partir de l'écran de connexion (non disponible pour le serveur), alors que, pour le serveur, il est nécessaire de connaître le mot de passe de root.
J'ai remplacé l'emplacement initial natif Linux :
/home/misko/.mozilla/default/fydeba98.slt/Mail/solair.eunet.yuPar celui-ci, monté sur :
/mnt/win_d/Documents and Settings/misko/Application Data/Mozilla/Profiles/default/oeu1tmbd.slt/Mail/solair.eunet.yu
À la suite de cette modification, il est désormais possible de télécharger les messages entrants sous un système, de les lire sous un autre système et, finalement de répondre ou d'écrire sous le troisième système. Le seul inconvénient mineur est que chaque système d'exploitation est susceptible de se « souvenir » uniquement du dernier état connu des répertoires de messagerie. Afin de rafraîchir l'état des répertoires de messagerie, l'utilisateur doit cliquer sur le nom de la boite aux lettres. Une autre solution est d'activer l'option « Compacter tous les répertoires… ».
Ce que je souhaite faire, maintenant, est de continuer à mettre à jour les trois Mozilla (au moins l'ancienne version qui fonctionne sous Mandrake). Je me demande si je pourrais en utiliser une version ordinaire (au lieu de xft) - bien que je me souvienne que les versions ordinaires plus anciennes produisaient des polices horribles sous l'environnement Linux. Je ne suis pas certain que la situation se soit améliorée.
La tâche suivante la plus importante est d'installer un des programmes de radioamateur les plus populaires, également open source, appelé LinFBB (FBB pour Linux). Vous pourrez obtenir des renseignements plus précis sur ce logiciel dans un autre guide pratique Linux : le Guide pratique FBB.
Copyright © 2006 Miroslav « Misko » Skoric, YT7MPB.
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Naming of particular products or brands should not be seen as endorsements.
Aucune citation de produits ou de marques particulières ne constitue une marque de soutien.
Ce petit guide devrait être mis à jour de temps en temps. Si vous pensez que le petit guide se trouvant dans votre CD d'installation de Linux n'est pas à jour, vous pouvez vérifier la disponibilité de versions plus récentes sur l'Internet. Elles peuvent se trouver sur le site principal du Projet de Documentation Linux ou à cette adresse : Projet de Documentation Linux.
Cette version du petit guide Linux+WinNT est fondée sur :
The Linux+WindowsNT mini-HOWTO by Bill Wohler, wohler AT newt DOT com v1.1, 19 February 1997
Dragomir Kalaba, un « gourou » local de Linux
Merci de faire parvenir en anglais à l'auteur vos questions et
commentaires relatifs à la version originale de ce document à
l'adresse :
<
skoric CHEZ eunet POINT yu>
N'hésitez pas à faire parvenir vos commentaires et suggestions
concernant l'adaptation française de ce document au projet Traduc.org à l'adresse :
<commentaires CHEZ traduc POINT org>
.
Les guides pratiques sont censés être des points de départ
principaux aussi bien pour l'obtention d'informations de base que
pour la résolution de problèmes spécifiques. Des guides pratiques
pertinents sont Bootdisk
,
Installation
, SCSI
and
UMSDOS
. Le site principal pour les obtenir est
Archive LDP à
Metalab (anciennement Sunsite).
La plupart des distributions de Linux comportent un répertoire de documents, souvent le répertoire /usr/doc directory. où sont stockés les documents principaux et les fichiers README associés à la plupart des paquetages. Vous y trouverez également l'archive des guides pratiques (/usr/doc/HOWTO) ainsi que l'archive des petits guides (/usr/doc/HOWTO/mini) au format texte simple.
La plupart des fichiers de configuration cités ci-dessus se
trouvent dans le répertoire /etc
directory. Vous aurez certainement besoin du fichier /etc/fstab qui permet de
configurer le montage des partitions et peut être également du
fichier /etc/mdtab qui est
utilisé par le système md
pour la configuration
du RAID.
Le code source du noyau, situé dans /usr/src/linux constitue bien entendu la documentation ultime. Il faut également signaler que le noyau est non seulement accompagné du code source qui comporte même des commentaires (au moins en partie), mais également d'un répertoire de documentation instructif répertoire de documentation. Si vous vous préparez à poser une question quelconque à propos du noyau, lisez cela en premier, cela vous épargnera beaucoup de temps, à vous comme aux autres et peut être également de la gêne.
Consultez également le fichier journal de votre système (/var/log/messages) pour
savoir ce qui se passe, en particulier comment s'est déroulé le
démarrage, lorsque de nombreux messages ont été affiché à l'écran.
À l'aide de la commande tail -f
/var/log/messages
lancée depuis une fenêtre ou un écran
distincts, vous obtiendrez un affichage permanent de l'état
courant de l'activité du système.
Vous pourrez également tirer parti du système de fichiers /proc qui est une fenêtre sur le
fonctionnement intime du système. Utilisez cat
plutôt que more
pour visualiser les fichiers
car leur longueur est nulle. Il paraît que la commande
less
fonctionne bien, également.
Un bon point de départ est bien entendu le site Project de Documentation Linux ou bien celui-ci : Project de Documentation Linux un site d'information central pour tout ce qui concerne la documentation, les pages projet et bien d'autres choses.
Merci de me signaler d'autres pistes potentiellement intéressantes.
Rappelez-vous que le texte accompagnant l'amorçage est enregistré
dans /var/log/messages
et qu'il peut fournir la
plupart des renseignements ci-dessus. Évidemment, si les disques
sont défaillants, il vous sera peut être impossible d'accéder aux
enregistrements, mais vous pourrez au moins faire défiler le texte à
l'écran à l'aide des touches MAJ
et PAGE
PREC
. Il pourrait être également utile d'en inclure une
partie dans votre demande d'aide, mais n'exagérez pas, restez
bref, car un fichier journal complet posté sur
Usenet est pour le moins gênant.